Organisez votre cure détox au mieux

Cette méthodologie détaillée va vous permettre d’organiser votre cure détox au mieux..

C’est le grand jour !

Maintenant que nous avons parlé des organes d’élimination, des déchets qui peuvent encrasser l’organisme (toxines et toxiques), de la vitalité, ainsi que l’intérêt de votre morphologie dans la mise en place  de la cure détox, nous sommes prêts à entrer dans le vif du sujet.

Cet article n’est plus accessible…

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Ce ne sera toutefois qu’un début.

Chacun des 3 axes que nous allons voir  aujourd’hui sera ensuite approfondi au cours des 3 prochains articles de cette exploration…

Cet article est le 4ème sur 8 de votre exploration cure détox ». Vous trouverez les liens des 7 autres articles de cette exploration en bas de page Par où commencer ?

 

Les 3  axes de la cure détox

Un axe alimentaire, où l’alimentation dite  hypotoxique  et la diététique sont mises en place ;

Un axe énergétique et psychologique, où l’on fait en sorte que l’énergie nerveuse et glandulaire sont bien distribuées aux organes, qu’elles ne soient pas non plus détournées par un mental hyperactif  ;

Puis un axe plus physiologique, où sont boostés les fameux émonctoires, via les plantes et autres substances drainantes, mais aussi par le sauna, le massage, l’exercice physique, etc.

Important : PAS DE DETOX EN CAS DE GROSSESSE: les déchets jusqu’alors logés dans les profondeurs et relargués dans le flux sanguin (avant d’être éliminés par les émonctoires) risqueraient d’empoisonner l’embryon ou le fœtus.

nutrition et diététique

1- L’AXE ALIMENTAIRE, UN INCONTOURNABLE DE LA CURE DÉTOX..

Un axe  primordial, pas toujours simple à mettre en place, le rapport à l’aliment n’étant pas toujours simple à gérer. Enfin, chacun fera comme il peut, à son rythme, pourra aussi utiliser des outils de changement (autohypnose, hypnose, PNL, EFT, etc.). Et puis ce ne sera que pour un temps donné. Quelques jours, quand l’outil diététique est très restrictif. Quelques semaines, quand il est plus souple. Au-delà, on risquerait de carencer l’organisme et de perdre la précieuse vitalité (primordiale au bon fonctionnement des organes d’élimination, souvenez-vous). Pousser» une détox serait donc totalement contre-productif. N’apporterait qu’épuisement et blocage des fonctions d’éliminations, entre autre..

La durée d’une détox est de quelques jours, quelques semaines, jamais plus de 2 moisElle est définit en fonction de la diététique mise en place, elle-même choisie en fonction du genre de déchets organiques à éliminer, de leur quantité, du niveau de la vitalité, des possibilités environnementales et psychiques du sujet, et bien sur de la progression du nettoyage organique

Cette détox pourra toutefois être reconduite plusieurs fois, si besoin. On alternera alors avec la cure de revitalisation8 jours de détox, par ex, suivie 8 jours de revitalisation, puis à nouveau 8 jours de détox, etc. Ou encore 3 semaines de détox, puis de 2 mois de revitalisation, puis re-détox, et ainsi de suite. Les formules en fait sont infinies, à choisir selon ses besoins, sa vitalité, son ressenti, son âge, les possibilités du moment, la saison, etc.

Dans certains cas, aussi définis par le taux de vitalité, la cure de revitalisation précédera la détox. D’autres fois, on l’associera (++ de sommeil, de repos; ajout de « super aliments »; reprise régulière d’activité physique, ou diminution dans les cas d’excès ; gestion du stress ; etc.). Sinon, elle l’enchaînera, de façon à combler les carences générées par le drainage.

En dehors de cela, la cure de revitalisation est une base d’hygiène de vie à adopter de façon constante entre les différentes détox annuelles

a-Dans une détox, le choix des aliments consommés est aussi fait en fonction du type de toxines à éliminer

Vous savez que la morphologie et les symptômes renseignent de la nature des déchets qui peuvent encrasser l’organisme, et que la nature de ces déchets indique aussi les émonctoires à solliciter..

Rappel article 1 : Il y a des émonctoires spécialisés dans l’élimination des colles, et des émonctoires spécialisés dans l’élimination des cristaux..

Ainsi, le choix des aliments à intégrer, à limiter, voir à supprimer de la cure est également fait en fonction du genre de déchets à éliminer. Et ceci parce qu’il existe des aliments producteurs de colles et des aliments producteurs de cristaux. C‘est-à-dire que les différents nutriments (protéines, glucides, lipides) contenus dans les aliments produisent chacun un genre de déchet précis. Les protéines produisent effectivement des cristaux. Et les glucides et les lipides produisent des colles. Bien sur, il est rare qu’un aliment ne contienne qu’un genre de nutriment, mais ils ont souvent une dominante, et c’est cette dominante qui permet de classer l’aliment en aliment producteur de colles ou bien de cristaux..

À retenir : Il y a des aliments producteurs de colles et des aliments producteurs de cristaux.

Les aliments principalement constitués de protéines produisent des cristaux, et les aliments principalement constitués de glucides et de lipides produisent des colles. 

Ainsi, le choix des aliments à intégrer, à limiter, voir à supprimer de la détox est aussi fait en fonction du type de toxines à éliminer.

Si  le corps est chargé de colles, on doit « limiter voir supprimer »les aliments les plus producteurs de colles  du menu standard (ou alimentation habituelle)

Si le corps est chargé de cristaux, ce sont les aliments les plus producteurs de cristaux qui doivent être limités voir supprimés de ce menu standard

C’est ce qu’on appelle faire une restriction alimentaire « qualitative« 

       Les aliments producteurs de colles:

  • Les céréales : blé (pain, pâtes, biscottes, etc.), maïs, avoine, riz, etc.
  • Les farineux : pommes de terre, patate douce, châtaigne, etc.
  • Les huiles et corps gras : huiles végétales, graisse de coco, crème, mayonnaise, beurre frais, margarine, etc.
  • Les fruits oléagineux : olive, avocat, noix de tout genre, amande, noisette, pistache, etc.
  • Les légumineuses : soja, lentilles, pois secs, haricots blancs et rouges, pois chiches, etc.
  • Les fromages fermentés : chèvre, gruyère, camembert, etc.

Tous ces aliments sont producteurs de colles et à des degrés différents..

       Les aliments producteurs de cristaux:

  • Les chairs animales : viandes, poissons, coquillages, crustacés, charcuteries, etc.
  • Certains produits laitiers : fromages blancs, yaourts, etc. À noter que les fromages blancs sont secondairement producteurs de colles.
  • Les œufs.
  • Le sucre raffiné et les sucreries : carré de sucre, confiture, sirop, etc. À noter que le miel et les fruits secs (raisins, figues, dattes…) produisent quant à eux peu de déchets. 
  • Le café, le thé, le chocolat.
  • Le vin, le vinaigre…

Tous ces aliments sont producteurs de cristaux età des degrés différents

b-La restriction alimentaire « quantitative »

 En dehors de choisir les aliments selon leur degré d’’encrassement, on peut aussi seulement diminuer la quantité d’aliments ingérés, ce n’est plus alors une « restriction qualitative » mais une « restriction quantitative »;

Cette quantité peut être réduite pour obtenir un poids quotidien de 800 g, 1000 kg voir 1500 kg. Ce poids devant bien sûr être inférieur à celui habituellement ingéré;

Pour les gros mangeurs, aux grosses capacités digestives, pour qui l’idée même de réfléchir à ce qu’ils doivent mettre ou pas dans leur assiette rebute, ou bien qui ont trop de contraintes (repas d’affaires, voyages, tables familiales, gourmandise chronique, etc.), c’est une bonne formule, la perte de poids observée est d’ailleurs un des signes des processus de nettoyage en cours.

Avertissement : Plus la restriction quantitative ou qualitative est élevée, plus les émonctoires vont avoir de déchets à éliminer car la quantité de déchets va être plus grosse.

La peau peut par exemple se couvrir de boutons, le nez peut couler, les bronches peuvent se gorger de glaires, les intestins peuvent se vider violemment, l’halène peut être fétide, la transpiration plus acide, les pertes blanches plus abondantes, les urines peuvent virer au jaune très foncé et être particulièrement odorantes, tout comme les selles, etc.

Les déchets logés dans les profondeurs peuvent également irriter les tissus environnant avant de rejoindre le sang les menant vers les émonctoires, créant alors des douleurs, des congestions, des maux de tête, etc.

On appelle tout ça des « crises d’élimination ».

Elles sont temporaires, quelques heures à quelques jours. Elles sont aussi bénéfiques puisqu’elles sont un reflet du nettoyage organique. Il faut néanmoins les contrôler, surtout chez les personnes très intoxiquées, sur-médicamentées, les gros fumeurs, les gros consommateurs d’alcool, de viande, etc. Sinon, elles risqueraient de saturer les émonctoires (tentant désespérément d’épurer ce sang chargé de ces toxines jusqu’alors logées dans leur niche) de les faire souffrir et de les blesser, dans le pire des cas.

La solution : diminuer temporairement la restriction, cela va limiter la remontée des déchets, le temps que les émonctoires se libèrent, et ceci parce que l’énergie sera redirigée vers la sphère digestive pour soutenir les processus digestifs nouvellement accrus

c-La digestion: cette grande consommatrice d’énergie

Vous souvenez vous d’un après repas vous laissant effondré dans votre canapé, totalement vidé de votre « jus » ?…

Ou bien effroyablement ballonné ?, vidé de votre énergie et de votre bonne humeur ?…

Ou bien perturbé par des remontées acides ?, des douleurs ?, des spasmes ?, des gaz ?, etc.

Tout ça pour dire que la digestion est consommatrice d’énergie… et surtout quand elle se passe mal.

Il va donc falloir la « revoir » pour qu’elle ne laisse plus sur le carreau, totalement vidé.

Qu’elle ne mobilise plus non plus l’énergie nécessaire aux émonctoires.

Pour cela, il faut travailler sur les associations alimentaires. 

Un fruit frais après un repas, par ex, n’est pas très digeste, un café non plus.

Une assiette constituée de 50% de viande avec tout autant de féculents (riz, pâtes, pain, patates, etc.), pas plus.

Etc.

L’art de l’association alimentaire est en fait une clé de la détox..

À retenir : La digestion est consommatrice d’énergie, et surtout quand elle se passe mal.

Travailler sur les associations alimentaires améliore les digestions et donc économise de l’énergie qui va pouvoir être utilisée par les différents émonctoires (rappel de l’article 2)

Cela permet aussi d’optimiser le transit, ainsi que l’humeur. Car n’oubliez pas, l’intestin est notre 2ème cerveau. Il produit localement les 20 mêmes neurotransmetteurs que ce dernier, dont la sérotonine et la dopamine, 2 substances nécessaires à notre zénitude et notre dynamisme

zen attitude

2- LE 2ème AXE DE LA DÉTOX, CELUI OU EST LIBÉRÉE L’ÉNERGIE..

La vitalité (= énergie nerveuse et glandulaire) doit être suffisante pour alimenter les processus de détoxification, souvenez-vous. Sans elle, les émonctoires ne sont pas réactifs. Ils ont du mal à filtrer les déchets du sang, à les transformer et à les éliminer de l’organisme.

Toutefois, même si cette énergie nerveuse et glandulaire est présente, elle est parfois «bloquée» ou passe mal et les émonctoires tournent alors au ralenti.

 Mais par quoi ce flux d’énergie peut-il être bloqué ?

Déjà, par les idées fixes, l’hyper activité mentale, la cogitation non stop, le stress psychique, les angoisses, l’inquiétude, le pessimisme, l’auto-dépréciation, le manque de confiance en soi, etc. Le cerveau est en fait un grand consommateur d’énergie (et cela au détriment du reste du corps)

La détente, la relaxation, le défoulement, la confiance en soi et en la vie, le positivisme, etc., sont donc des incontournables d’une élimination optimum.

Pour les travailler, nous avons la relaxation consciente, les bains chauds, le massage bien-être, le yoga, l’exercice physique, le sommeil,  les outils issus du développement personnel (PNL, hypnose, autohypnose, travail avec un coach de vie, livres, audios, vidéos, séminaires, ateliers, formations, etc.), l’EFT, TIPI, les promenades dans la nature, la méditation, les loisirs, les plantes et nutriments agissant sur le système nerveux, etc.

À part par une « tête trop en ébullition », l’énergie (nerveuse) peut également être ralentie par des blocages articulaires (dont l’arthrose), par ex au niveau vertébral, les nerfs alimentant nos organes s’y trouvant comprimés;

Les mouvements crâniens peuvent aussi manquer de fluidité, tout comme certains muscles, fascias, viscères (tension, adhérences, etc.)..

Pour contrer cela, nous avons l’exercice physique (yoga, étirements, travail abdominal respectant la physiologie, etc.), les massages, l’ostéopathie, etc.

L’énergie peut également ne pas alimenter 1 ou plusieurs organes, mais de façon locale..

Là, c’est le champ d’action des techniques reflexes (massage, réflexologie, etc.) et de l’acupuncture. Dernière qui permet aussi de recharger le corps de façon plus large quand il y a besoin.

Ensuite,  pour que les hormones de la batterie glandulaire arrivent bien à destination,  il faut qu’il y ait une circulation sanguine bien fluide...

Pour cela, rien de tel que le mouvement, le sport, le vélo, la danse, la marche, etc.…Bref, toute activité qui éloigne de la sédentarité, sans oublier les massages à visée circulatoire…

À tous ces diverses techniques de libération de l’énergie, on doit ajouter du repos, des contacts réguliers avec la nature, le grand air, le soleil du matin, la lumière, des relations humaines de qualité, le contact avec les animaux (pour certains), une alimentation adaptée (plus végétale qu’animale, plus crue que cuite, de saison, non raffinée, issue de l’agriculture biologique, etc.),…

phytothérapie drainate

3- LE 3EME AXE DE LA DÉTOX, CELUI OU SONT « BOOSTÉS » LES FAMEUX ÉMONCTOIRES..

Je sais que cet axe vous intéresse particulièrement;

On nous dit tellement dans les magazines que telles plantes, ou telles substances, peuvent à elles seules nous permettre de nous détoxiner;

Qu’il suffit de prendre ça, pour perdre sa graisse;

Et puis cette autre chose, contre sa cellulite;

Et pour le dynamisme, tel truc;

Pour la libido, tel machin;

Pour rester jeune, tel bidule…;

Résultat, on se retrouve avec des tonnes de gélules à avaler chaque matin, qui coûtent chères, et puis surtout ne servent à rien si elles ne sont pas accompagnés d’un minimum de changements, alimentaires ou autres..

Précision : Un draineur est une substance qui stimule l’activité des émonctoires.

Il existe des draineurs hépatiques, hépato-vésiculaires, hépato-rénaux, rénaux, cutanés, intestinaux, pulmonaires…

Ces draineurs peuvent être des plantes, mais aussi d’autres substances (eau hydroxydase, chlorure de magnésium, huiles essentielles, etc.)

Un outil de drainage peut aussi être une technique, tel le sauna, l’exercice physique, les massages, les lavements, les bains, la bouillotte, etc.

Certains légumes et certains fruits ont aussi des vertus détoxifiantes (choux, carotte, céleri, etc.)

En ce qui concerne la détox, on allie donc « une alimentation spécifique + une optimisation du flux d’énergie » à la prise de ces produits drainants:

L’axe alimentaire va permettre de tarir la source de déchets (comment faire le ménage, sinon, en continuant de salir en même temps!) tandis que l’axe énergétique permettra aux émonctoires de réagir aux produits drainants…

Mode d’action des plantes drainantes : Les plantes utilisées renferment des principes actifs qui permettre d’éliminer les déchets du corps en même temps que le principe actif. Ces principes actifs agissent directement au niveau de l’émonctoire en en stimulant l’activité épuratrice. Toutefois, il faut que l’émonctoire ait les capacités organiques et énergétiques pour être capable de réagir à cette stimulation. Sinon, les principes actifs n’agissent pas.. et deviennent même une source d’encrassement supplémentaire puisque les émonctoires sont incapables de les prendre en charge pour les éliminer

Comment choisir les outils de drainage ?

Le choix des outils de drainage est fait  en fonction du type de déchet à éliminer, de l’état de l’émonctoire visé, des possibilités et des contraintes du moment et surtout du niveau de vitalité.

                       a- Drainage des émonctoires à colles:

Si le corps est chargé de colles, c’est  le foie (et  la vésicule biliaire qui gère l’évacuation de la bile), les intestins et les glandes sébacées de la peau qui peuvent être boostés.

Ainsi, après avoir vérifié si la vitalité générale est suffisante, on observe l’état de ces différents émonctoires.

  • Le foie. S’il va bien, on peut utiliser des draineurs hépatiques. Si par contre il est saturé (nausées, teint jaunâtre, douleurs costales), très affaibli  (séquelles de maladies hépatiques), en souffrance (hépatites, etc.), on n’utilise pas de draineurs hépatiques. La diète mise en place, ainsi que les autres outils de drainage ciblés foie (bouillotte, stimulation des points réflexes, etc.) suffiront pour le soutenir dans son travail de détoxification. On pourra par contre stimuler d’autres émonctoires à colles pour le soulager, c’est ce qu’on appelle faire une dérivation…

La dérivation

Le fait de soulager un émonctoire surchargé, ou en souffrance, en emmenant les déchets vers un autre émonctoire capable de traiter le même type de déchets est ce qu’on appelle « faire une dérivation ».

Exemples de dérivations :

Transpirer soulage les reins. La sueur permettant d’éliminer les déchets cristaux, comme le fait l’urine. La dérivation est donc faite des reins vers les glandes sudoripares ;

Si les poumons sont encombrés, on dérive les colles vers le foie ;

Si les glandes sébacées sont chargées de colles (acné, eczéma suintant, etc.), on dérive les colles vers le foie;

 Si le foie est saturé, on peut dériver vers les glandes sébacées.

Pour dériver, on utilise des draineurs (plantes, substances drainantes) ou d’autres outils de drainages (exercice physique, sauna, bains, bouillotte, etc.)…

N’oubliez pas toutefois que  la restriction alimentaire « qualitative » reste le meilleur moyen pour soulager un émonctoire saturé

  • La peau. Si elle est saine, on peut y aller. Si par contre elle est pleine de boutons, d’eczéma suintant, d’acné, etc., c’est vers le foie (et la vésicule biliaire) qu’on dérive. Bien sur, il faut que le foie soit lui-même en bon état.
  • Les intestins. On ne les stimule pas s’ils sont coliteux, ou s’ils fonctionnent bien, mais seulement s’il a un ralentissement du transit. Et si ce ralentissement n’est pas lié au foie (voir précision ci-dessous).

Le foie synthétise la bile. Cette bile est ensuite stockée dans la vésicule biliaire pour être déversée dans le tube digestif au moment des repas. Elle gère alors la digestion des graisses.

Cette bile favorise également le mouvement intestinal (péristaltisme) à l’origine de l’avancée du bol alimentaire, et plus tard des selles.

Dans bien des cas, la constipation est liée à un ralentissement de la synthèse de bile par le foie ou à sa  mauvaise évacuation par la vésicule biliaire. C’est donc sur cette synthèse et cette évacuation qu’il faut travailler si l’on veut réguler le transit

  • Les poumons. S’ils sont encombrés, on dérive les colles vers le foie. Et si le foie est saturé, on dérive plutôt vers les glandes sébacée.

                      b-Drainage des émonctoires à cristaux:

Quand le corps est chargé de cristaux, ce sont reins et les glandes sudoripares qui peuvent être boostés.

Ainsi, après avoir vérifié si la vitalité générale est suffisante, on observe l’état de ces émonctoires.

  • Les reins. S’ils vont bien (urine du matin bien colorée, bilan labo ok), on peut y aller. Si par contre ils sont en souffrance (insuffisance rénale, urine anormalement claire, séquelles en tout genre, etc.), on dérive vers peau via une augmentation de la transpiration (exercice physique, sauna, chaleur, etc.)
  • La peau. Hormis si elle est déjà couverte de boutons, de démangeaisons, d’urticaire, d’eczéma, de crevasses, d’herpes, de zona,  de psoriasis, etc., on n’hésitera jamais à la faire transpirer pour évacuer les déchets cristaux. Sinon, on dérivera une partie des déchets vers les reins.

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Pour découvrir la suite de votre exploration cure détox rdv ici: Les meilleures stratégies alimentaires détox 

 

2 commentaires

  1. Decoutère 23 mars 2017
    • Véronique Duivon 24 mars 2017

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