Évaluer vos besoins de sommeil, fiche pratique

Calculez vos besoins de sommeil…

Certains d’entre nous ont besoin de dormir 6h pour satisfaire cette nécessité physiologique. D’autres de 9 à 10h. D’autres encore de 8h.

Avec cet article, nous allons voir comment estimer les besoins de sommeil individuels.

L’intérêt de cette estimation ? 

Redonner sa place au sommeil…qui est le leader de la régénération physique et psychique.

3 moyens de définir au mieux les besoins de sommeil…

Le 1er moyen est très simple et ne demande aucune connaissance particulière:

On attend juste une période où on peut se  laisser aller à vivre à son propre rythme. Par exemple, pendant des vacances.

Après quelques jours, durant lesquels les habitudes de « réveils imposés » vont probablement prendre le dessus, on dort tout son soûl et ceci durant 3 à 4 jours, de façon à ce que la fatigue accumulée disparaisse.

Après ces 4 jours, certains peuvent continuer dormir chaque nuit durant 9h à 10h.

D’autres, par contre, sont frais et dispos après 6h.

D’autres encore après 8h.

En résumé, on jette le réveil et on laisse faire.

Le rythme biologique – libéré des contraintes horaires– va livrer le chiffre magique ;-)

Un 2ème moyen d’évaluation des besoins de sommeil:

C’est aussi un moyen très simple mais toutefois moins précis.

Cela demande aussi d’avoir lu l’article Le visage, un vrai détecteur de toxines pour tout bien comprendre ;-)

Si vous n’avez pas encore lu cet article, allez-y. Et revenez ensuite…

Allez, on poursuit..

Pour un « dilaté », les besoins de sommeil sont moins importants que pour un « rétracté ».

Rappel : le sommeil est le temps privilégié de la recharge de la batterie nerveuse

En effet, les dilatés se servent principalement de leur batterie glandulaire pour assurer leur fonctionnement organique. Leur batterie nerveuse est donc moins sollicitée, c’est à dire moins sollicitée que celle des rétractés, qui elle fonctionne toujours à plein régime, nécessitant donc un plus gros temps de recharge nocturne.

Rappel : La vitalité est concentrée dans 2 réservoirs corporels : les glandes endocrines et le système nerveux.

  • Les glandes endocrines secrètent des hormones qu’elles déversent dans le sang qui va les emmener vers les organes cibles, afin de les stimuler.
  • Quand au système nerveux, il stimule l’activité des organes grâce ses connections nerveuses qui distribuent l’influx nerveux.

Les hormones et l’influx nerveux sont donc les moyens d’expression de la vitalité.

Rappel 2 :

  • Chez les dilatés, le système glandulaire est plus puissant que le système nerveux : leur batterie glandulaire est leur batterie de vie principale. C’est leur 1ère source d’énergie.
  • Chez les rétractés, c’est l’inverse, la batterie nerveuse est plus puissante. Elle est leur 1ère source d’énergie et leur assure une grande partie de leur fonctionnement organique.

Toutefois, plus le sujet est dilaté (Digestif et Obèse), et plus ses besoins de sommeil augmentent (minimum 8h).

Pourquoi ?

Parce ce que la batterie glandulaire faiblit avec l’augmentation de la dilatation.

Elle doit donc être soutenue par la batterie nerveuse, elle-même affaiblit par l’augmentation de la dilatation.

Résultat : nécessité d’un plus grand temps de recharge de la batterie nerveuse (en rapport donc d’un Sanguin).

Du côté des rétractés, l’augmentation de la rétractation (Cérébral et Nerveux) amplifie aussi les besoins de sommeil.

La batterie principale (nerveuse) étant elle-même plus sollicitée, avec aussi une réserve plus petite (= réserve plus petite du fait de l’augmentation de la rétractation), elle nécessite donc un plus grand temps de recharge que celle d’un Respiratoire.

En résumé :

  • Un Sanguin a besoin d’environ 7 à 8 h de sommeil
  • Un Digestif et Obèse ont besoin d’un minimum de 8h
  • Un Respiratoire a besoin d’un minimum de 8h
  • Un Cérébral et Nerveux de 9h à 10h

3ème et dernier moyen d’évaluation des besoins de sommeil:

Celui-ci s’apprécie à partir du crâne, l’activité organique et psychique s’y reflétant également, tout comme sur notre visage, notre corps, nos mains, etc.

À noter : la typologie glandulaire a été définit par le Dr Gautier, un endocrinologue reconnu et réputé pour ses travaux sur l’approche psychologique de l’individu grâce au développement de certaines de ses glandes

Dans cette approche « crânienne », c’est le système hormonal qui est à l’honneur..

Du moins 4 de ses principales glandes :

  • L’hypophyse
  • La thyroïde
  • La pinéale (rappel : c’est elle qui sécrète la fameuse mélatonine)
  • Les surrénales (ces glandes se trouvent sur les reins)

typologie glandulaire
L’activité de ces 4 glandes se reflète sur notre crâne (voir schéma ci-dessus):

  • À l’avant du crâne, on trouve le reflet de l’hypophyse (H sur le schéma);
  • Sur le dessus, celui la thyroïde (T sur le schéma) ;
  • Sur l’arrière, en haut, celui la pinéale (P)
  • Juste en dessous, celui des surrénales (S)

Selon les cranes, chacune de ces 4 parties (ou volumes) est plus ou moins grande (Ou bien aucune ne prédomine) :

  • Si la partie avant est la plus grande, c’est l’hypophyse qui domine. Le sujet est dit « Hypophysaire »
  • Si c’est celle du dessus, la thyroïde. Le sujet est dit « Thyroïdien »
  • Si c’est celle en haut à l’arrière, la pinéale. On le dit « Pinéalien »
  • Si c’est celle d’en dessous, les surrénales. On le qualifie de « Surrénalien »
  • Si aucune des parties ne prédomine, aucune des 4 glandes ne domine. L’harmonie glandulaire est présente.

Comment mesurer ces volumes (ou parties) crâniens ?

Vous allez vous servir de vos mains que vous allez poser sur le crâne, et en comparer l’ouverture, comme expliqué dans la vidéo ci-dessous…

  • Si l’hypophyse domine, les besoins de sommeil sont de 8 h
  • Si c’est la thyroïde, ils sont de 9h à 10h
  • Si c’est la pinéale, de 8h
  • Si ce sont les surrénales, 6h de sommeil suffisent
  • Si l’ensemble est équilibré, 8h

À noter : les thyroïdiens adorent se coucher tard. Ce sont de vrais oiseaux de nuit ;-)

Le problème, c’est qu’il faut être couché (et dormir) entre 10h et 11h si l’on veut optimiser la désacidification de l’organisme.

Se coucher tôt demande donc aux thyroïdiens une grosse discipline, et aussi un peu de frustration, le temps que l’habitude s’installe, et ensuite les bienfaits.

Encore une chose: se coucher plus tôt permettra aussi aux thyroïdiens de ne pas (ou plus) être en dette de sommeil.

Effectivement, 9h à 10h de sommeil par nuit, il faut les « placer » quand on doit se lever vers 7h pour aller travailler!

Et les siestes ne sont hélas pas toujours possibles.

Quant aux surrénaliens, ce sont des couche tôt. Difficile de les faire veiller.

En ce qui concerne les pinéaliens et les hypophysaires, ils s’adaptent. Couche tard ou couche tôt, selon les exigences ou les motivations du moment.

Pour finir

Cette approche des volumes crâniens ne nous livre pas que les besoins de sommeil personnels, elle nous livre également un tas de renseignements sur le fonctionnement psychique individuel.

Vous aimeriez en savoir plus ?…

Consultez cet article le crâne, un partenaire de coaching détox.

Il explique tout ce qu’il y a à savoir sur les aspirations profondes des thyroïdiens, des pinéaliens, des hypophysaires et des surrénaliens..

L’intérêt?…

Pouvoir choisir les stratégies thérapeutiques en fonction des besoins tout autant psychiques que physiques.

En cas de questions, de suggestions, de partage d’expérience, n’hésitez pas à vous servir de la partie commentaires

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Véronique

6 commentaires

  1. Nathalie GUEGUEN 6 juin 2019
    • Véronique Duivon 7 juin 2019
  2. fyosty 5 novembre 2018
  3. Amin 13 mars 2016
    • Véronique Duivon 13 mars 2016

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